Le foudroiement des opinions m’irrite. Je ne vois plus que des cœurs butés, des esprits en mal d’équilibre, au sens critique empoisonné. Plus un homme qui ne juge en fonction du cancer qui le ronge. Il n’y a plus de fixe que l’égarement. Là où il faut juger cœur on vous répond technique, et là où c’est technique on ne trouve plus qu’une maladie de cœur.
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Info: Cahiers de Rodez, VII, 371
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