Car si le commandement divin est d’aimer notre prochain comme soi-même, la condition la plus favorable pour y répondre est que ce prochain ne soit pas englué dans l’anonymat des masses, qu’il nous apparaisse avec son visage et son âme, en un mot qu’il soit pour nous une présence et non un chiffre.
Auteur:
Info: Dans "L'équilibre et l'harmonie", Librairie Arthème, Fayard, 1976, page 16
Commentaires: 0