[...] la société dégénère dans la mesure où s’abolit le sentiment de la différence et de la complémentarité entre les hommes, c’est-à-dire où le nombre, donnée abstraite et impersonnelle, l’emporte sur la qualité des éléments dénombrés. Il y a un point critique au-delà duquel la concentration transforme les hommes en choses et les rapports humains en phénomènes régis presque uniquement par la pesanteur matérielle.
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Info: Dans "L'équilibre et l'harmonie", Librairie Arthème, Fayard, 1976, page 120
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