L’existence temporelle est-elle donc le bien suprême ? Est-ce un digne objet pour notre espérance que de vouloir la prolonger le plus longtemps possible dans n’importe quelles conditions et par n’importe quels moyens ? Cette mentalité recouvre une étrange surestimation – pour ne pas dire une idolâtrie – de la vie terrestre.
Auteur:
Info: Dans "L'équilibre et l'harmonie", Librairie Arthème, Fayard, 1976, page 193
Commentaires: 0