Tout être mû, dont le mouvement a pour principe ou pour cause propre et immédiate un autre être, est un être qui est en dehors, comme tel, du monde de la vie. Un être, au contraire, dont l'action ou le mouvement a pour cause, qui l'explique immédiatement et adéquatement dans l'ordre de sa cause propre, un principe qui est intérieur à cet être, appartient au monde des vivants. L'être vivant est celui dont le mouvement n'est pas dû à un autre, mais qui se meut lui-même.
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Info: Dans "Aperçus de philosophie thomiste et de propédeutique", page 166
Commentaires: 3
miguel
22.09.2021
ok
Coli Masson
22.09.2021
Pas vraiment puisque la cause finale est extérieure à l'être.
miguel
22.09.2021
monade ?