Rien de bien nouveau à Paris ; il y a un roman de Balzac, La Peau de chagrin, fétide et putride, spirituel, pourri, enluminé, papilloté et merveilleux par la manière de saisir et de faire briller les moindres petites choses, d'enfiler des perles imperceptibles et de les faire sonner d'un cliquetis d'atomes.
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Info: Lettre du 18 septembre 1831
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