Je sais bien que l’esprit est toujours fécond en modes de comprendre. Je le dis souvent aux personnes que je contrôle – faites surtout bien attention à ne pas comprendre le malade, il n’y a rien qui vous perde comme ça. le maladie dit une chose qui n’a ni queue ni tête, et, en me le rapportant – Eh bien j’ai compris, me dit-on, qu’il voulait dire ça. C’est-à-dire qu’au nom de l’intelligence, il y a simplement élusion de ce qui doit nous arrêter, et qui n’est pas compréhensible.
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Info: Dans le "Séminaire, Livre II", "Le moi dans la théorie de Freud", page 123
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