Une porte n’est pas quelque chose, je vous prie d’y réfléchir, de tout à fait réel. La prendre pour tel conduirait à d’étranges malentendus. Si vous observez une porte, et que vous en déduisez qu’elle produit des courants d’air, vous l’emportez sous votre bras dans le désert pour vous rafraîchir.
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Info: Dans le "Séminaire, Livre II", "Le moi dans la théorie de Freud", page 412
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