Début des années 2000, à l’École des beaux-arts, on ne touche plus aux pinceaux ni aux pigments. Les étages ont été rénovés pour accueillir les ateliers vidéo, son et multimédia. Les éclaboussures de couleur et les odeurs de térébenthine ne sont plus tolérées, les ateliers de peinture, pour les derniers résistants, ont été déplacés aux sous-sols, dans les caves.
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Info: Térébenthine, p 22
Commentaires: 2
miguel
19.10.2021
okay merci
Coli Masson
19.10.2021
dématérialisation ? numérique ? pixellisé ?