S'il est vrai, comme l'a fait remarquer Tolstoï, que chaque famille malheureuse l'est à sa manière, et que chaque habitant de la planète Terre, vallée de larmes par excellence, a certainement droit à la spécificité de sa souffrance, on aime néanmoins penser que la littérature a le pouvoir de rendre compréhensibles différents types de malheur. Si elle ne peut le faire, à quoi sert-elle ?
Auteur:
Info: The Possessed: Adventures With Russian Books and the People Who Read Them
Commentaires: 0