Dans la chambre une deuxième fenêtre donnait sur un arbre. Une brise avait pour lui des délicatesses amoureuses. Des moineaux jaillissaient du feuillage comme des poèmes insoucieux d'être lus. Il faut beaucoup pardonner à cette vie incompréhensible. Il faut tout lui pardonner pour cette douceur inouïe qu'elle exerce par surprise.
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Info: La nuit du cœur
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