femmes-hommes

Si la langue est maternelle et l’écriture paternelle, dans la langue elle-même, pour chacun d’entre nous – toujours, toujours – la prose est paternelle et la poésie maternelle. Les histoires, les récits, et la pensée, nous sont donnés par nos pères ; l’instant vertical, métaphysique, instinctif, de la poésie, par nos mères. 

Auteur: Amigorena Santiago H.

Info: Le premier exil, p. 287

[ parents ] [ idiomes sexués ] [ contextuel-téléonomique ]

 

Commentaires: 0

Ajouté à la BD par miguel

Commentaires

No comments