Il racontait mal ce qu'il inventait, parce qu'il savait que le Temps polirait ses propos, s'ils en valaient la peine, comme il l'avait déjà fait pour L'Odyssée et Les Mille et Une Nuits. De même que la littérature à son origine, Nierenstein s'en tint au récit oral parce qu'il n'ignorait pas qu'au fil des ans tout finirait par s'écrire.
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Info: Chroniques de Bustos Domecq. En quête de l'absolu
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