Les livres, m’avait-il confié un jour, alors que je l’avais rejoint en haut de l’échafaudage, sont le seul moyen pour l’homme de ne pas oublier son humanité. Lui, en tous cas, n’aurait pas pu exister sans livres. Selon lui, les livres, c’était aussi un monde, celui que l’homme se choisit et non celui qui le voit naître.
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Info: L'Art d'écosser les haricots de Wieslaw Mysliwski, p. 152
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