Si un roman réaliste, qui n’est toujours en fin de compte qu’un amoncellement de clichés, peut nous intéresser, ce n’est pas en raison du menu chatoiement réel qu’il nous apporte. Si ces clichés nous intéressent, c’est parce que, derrière cela, ils visent toujours autre chose. Ils visent précisément ce qui a l’air d’être le plus contraire, c’est-à-dire tout ce qui manque.
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Info: dans le "Séminaire, Livre IV", "La relation d'objet", éditions du Seuil, 1994, page 343
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