Naviguer, c’est frôler sans cesse le corps onctueux d’une femme qui, des lors, est interminable.
La mer lamée de mauve, c’est sa peau lascive où la coque s’introduit.
C’est d’un érotisme subtil, onirique, étrange, secret.
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Info: Promenades en bord de mer et étonnements heureux, p 92
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