Il y aura toujours des romans parce que la vie des hommes changera toujours, et qu’elle exigera donc des hommes à venir qu’ils expliquent ces changements, car c’est une nécessité impérieuse pour l’homme de faire le point dans un monde toujours variant, de comprendre la loi de cette variation : au moins, s’il veut demeurer l’être humain, dont il a, au fur et à mesure que sa condition se complique, une idée toujours plus haute et plus complexe.
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Info: préface de 1964 aux Cloches de Bâle
Commentaires: 3
miguel
04.03.2022
le 1
Coli Masson
04.03.2022
Adaptation ou mouvement corolaire ?
miguel
04.03.2022
adaptativité