Il n’y a tout simplement aucun rapport entre la société du spectacle décrite jadis par [Guy] Debord et la nouvelle civilisation hyperfestive dans la mesure précise où cette dernière réalise l’abolition de la séparation que Debord désignait comme le mal à l’œuvre dans la société spectaculaire.
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Info: Dans "Exorcismes spirituels, tome 4", Les Belles Lettres, Paris, 2010, page 1693
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