L’épidémie a ceci de bon qu’elle révèle, au détour de l’actualité, les projets de la technocratie en cours avant l’apparition du virus. On apprend ainsi qu’en 2019, l’Union européenne travaillait déjà à un "passeport sanitaire", dans le cadre d’un programme global de "numérisation de [sa] stratégie sanitaire". Les entreprises françaises Jouve, Cimbiose et Syaden, ainsi que la filiale belge d’Ipsos, avait remporté un appel d’offres concernant les "recommandations pour la mise en place d’une carte de vaccination européenne".
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Info: Dans "Le règne machinal", éditions Service compris, 2021, page 193
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