D’ailleurs, il y a avec l’éloignement et le fait d’écrire ces lettres une grande misère à laquelle il est absolument impossible de remédier. Surtout quand de plus on écrit autant que moi et qu’on fait alors par moment connaissance avec l’horror calami.
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Info: Lettre à Wilhelm Fliess du 27 avril 1895, trad. Françoise Kahn et François Robert, éditions P.U.F., Paris, 2006
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