Je suis infiniment heureux que tu me fasses le cadeau d’être un autre, un critique et un lecteur, et qui plus est de ta qualité. Sans public aucun, je ne peux pas écrire, mais je peux fort bien admettre que c’est seulement pour toi que j’écris tout cela.
Auteur:
Info: Lettre à Wilhelm Fliess du 18 mai 1898, trad. Françoise Kahn et François Robert, éditions P.U.F., Paris, 2006
Commentaires: 0