Mon fils Martin n’écrit plus de poésies. Je crois t’avoir rapporté ce qu’il a déclaré à Berchtesgaden : En réalité, je ne crois pas que mes soi-disant poèmes soient vraiment beaux. Cette sentence a marqué son éloignement d’avec ce qui avait été jusqu’alors sa période créatrice.
Auteur:
Info: Lettre à Wilhelm Fliess du 4 octobre 1899, trad. Françoise Kahn et François Robert, éditions P.U.F., Paris, 2006
Commentaires: 2
Coli Masson
16.04.2022
pourquoi pas.
Le sous-projectionniste
16.04.2022
autocritique