On s’habitue peu à peu à une nouvelle compréhension de l’essence du bonheur. C’est quand le destin ne concrétise pas toutes ses menaces en même temps que l’on peut supposer qu’il y a du bonheur.
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Info: Lettre à Wilhelm Fliess du 8 mai 1901, trad. Françoise Kahn et François Robert, éditions P.U.F., Paris, 2006
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