Quoi de plus pratique qu’un commandement divin pour abdiquer sa volonté ? Il y en avait toujours pour qui le joug de la liberté était trop lourd. Alors ils venaient grossir les foules qui rêvent d’exécutions et jouissent derrière leurs dogmes trop serrés. Ils étaient heureux d’obéir à nouveau, les discours des prédicateurs devaient avoir pour eux le parfum des fleurs volées dans les cimetières.
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Info: Furies, p 193
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