L’interrègne lumineux d’avril, ni froid ni trop chaud, quand les ouragans ne menacent pas encore, les premières mangues mûrissent et les flamboyants commencent à fleurir, est une sorte de cadeau de la nature et c’est un vrai gâchis, parce qu’on est trop pressé, ou trop stressé, de ne pas le savourer, de ne pas s’en réjouir. Définitivement, sous les tropiques, avril n’est pas le mois le plus cruel.
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Info: Poussière dans le vent, p 391
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