Les mots ne sont rien, le délire des désirs et des fantasmagories tournant en vain à l'intérieur de la dure concavité infranchissable du crâne : seuls comptent l'effleurement, le contact d'une main, la chaleur d'un corps, le battement mystérieux d'un pouls.
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Info: Dans la grande nuit des temps
Commentaires: 2
miguel
25.08.2022
merki
Coli Masson
25.08.2022
toucher ? tactilité ?