[...] le présent, c’est comme un homme qui se promène dans une forêt où les arbres qui l’ombragent ont été plantés par ses ancêtres et où ceux qu’il sèmera n’abriteront que ses enfants, c’est ainsi également que le présent souffre plus des erreurs du passé que le passé n’en a lui-même souffert.
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Info: Dans "Les raisons du nationalisme", La délégation des siècles, 2021, page 112
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