C’est un pur, trop entier, trop idéaliste. Pour lui, l’amour, qu’il soit conjugal ou filial est parfait ou il n’est pas. Il est un peu comme ces révolutionnaires qui finissent dictateurs dans des bains de sang car la vertu qu’ils rêvaient n’est pas au rendez-vous.
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Info: Mort à bout de course, p 195
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