Non, j’aime mieux mériter Groucha par autre chose qu’en lui demandant pardon. Je la vénère, Aliocha, je la vénère ! Elle ne le voit seulement pas, non, il lui faut toujours plus d’amour. Et elle me tourmente, me tourmente avec cet amour ! Qu’est-ce à côté de naguère ? Seules me tourmentaient naguère les courbes infernales mais maintenant j’ai pris toute son âme dans la mienne et par elle je suis moi-même devenu un homme !
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Info: Dans "Les Frères Karamazov", volume 2, traduction d'Elisabeth Guertik, le Cercle du bibliophile, page 344
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