L’existence de la bonne mauvaise littérature — le fait que l’on puisse être amusé, captivé ou même ému par un livre que l’intellect refuse de prendre au sérieux — nous rappelle que l’art et la pensée sont deux choses distinctes.
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Info: Sommes-nous ce que nous lisons ?
Commentaires: 9
Coli Masson
22.01.2023
Oui mais je ne vois toujours pas le lien d'acceptation avec cet extrait.
miguel
22.01.2023
pas question de dualité ici, du tout, mais du sens de 2 mots : pensée, art Je parle ici de vitesse de l'esprit ou de son instabilité, ou de son adaptabilité, sa profondeur onirique, etc (pensée)... versus l'autre mot (art) qui - pour moi évidemment - correspond à quelque consensus d'une époque... pas loin de l'idée d'Orwell que "tout art est propagande".
Coli Masson
21.01.2023
Ah bon. Et où serait la vitesse et totale liberté, et le consensus communautaire de l'autre ? Attention à ta "dualité prison". Ou à ton "noir ou blanc sans nuance".