[...] nous devons situer le processus de la sublimation, si nous voulons donner à ce terme un sens convenable, dans la reconversion du désir en cette production qui s’exprime dans le symbole – lequel n’est pas la super-réalité que l’on croit, tout au contraire, il est essentiellement fait du bris de la réalité, de sa décomposition en partie signifiantes. La sublimation, dis-je, est dans la reconversion de l’impasse du désir dans la matérialité signifiante.
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Info: Dans le "Séminaire, Livre VI : Le désir et son interprétation", éditions de La Martinière et Le Champ Freudien éditeur, 2013, page 546
Commentaires: 2
Coli Masson
27.01.2023
symbolisation est suffisant.
miguel
27.01.2023
création ?