Nous sommes rentrés à la maison et nous avons passé une excellente soirée. Fedia m’a dit qu’il ne pouvait imaginer meilleure épouse que moi, mais toute bonne épouse que je fusse, il faudrait bien me donner le fouet de temps en temps ! J’ai reconnu que c’était vrai, qu’il faudrait bien me fouetter parfois, mais que ce n’était guère possible !
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Info: "Journal (1867)", traduit du russe par Jean-Claude Lanne, éditions des Syrtes, Genève, 2019, entrée du 3 octobre 1867
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