[L’existence du symptôme] peut faire taire une demande du surmoi, ou […] repousser une exigence du monde extérieur. Voilà donc le symptôme chargé peu à peu de représenter d’importants intérêts ; il prend une valeur dans l’affirmation de soi, tend à ne plus faire qu’un avec le moi et il lui devient de plus en plus indispensable. […] Le moi est tout disposé à faire la paix et voudrait s’incorporer le symptôme, en faire une partie de lui-même […].
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Info: "Inhibition, symptôme et angoisse", traduit de l’allemand par Michel Tort, Presses Universitaires de France, 1973, pages 15-16
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