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Dans sa forme la plus primitive, la vie n'est donc plus liée à la cellule, la cellule qui possède une structure et qui peut être comparée à un rouage complexe, comme une montre qui cesse d'exister si on la frappe dans un mortier. Non, dans sa forme primitive, la vie est comme le feu, comme une flamme portée par la substance vivante, comme une flamme qui apparaît dans une diversité infinie et qui a pourtant une spécificité en elle, qui peut prendre la forme du monde organique, de la feuille d'herbe blanche et de la tige de l'arbre.

Auteur: Beijerinck Martinus Willem

Info: Discours prononcé lors de la réunion de 1913 de la Koninklijke Akademie van Wetenschappen à Amsterdam. Trans. dans G. Van Iterson, Jr, L. E. Den Dooren De Jong et A. J. Kluyver, Martinus Willem Beilerinck : His Life and Work (1940), 120.

[ fluide vital ] [ source ]

 

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