Les dernières pensées sont parfois étonnamment nulles. Je connais un suicidé qui se plaint dans son journal de n’être visité, à une heure aussi grave, par aucune "pensée supérieure" : rien que des pensées vides et futiles.
Auteur:
Info: "L'Adolescent", éditions Gallimard, 1998, traduit par par Pierre Pascal, page 177
Commentaires: 0