Les mœurs, les idéals qui dénient à la chair et au moi individuel leurs droits légitimes n’épuisent pas seulement la vie, ils la pervertissent. La vie, ainsi comprimée, ne disparaît pas, elle ne se change pas non plus en esprit, mais elle ruse avec l’esprit, elle joue à l’esprit, elle reparaît insidieusement sous un masque de valeurs supérieures.
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Info: "Ce que Dieu a uni", libraire Arthème Fayard, 1962, pages 21-22
Commentaires: 2
Coli Masson
23.09.2023
Il n'en parle pas directement. C'est plus vaste.
miguel
23.09.2023
dogmes ?