Il est des êtres qui nous irritent fatalement, même sans le vouloir, même par quiproquo. Mais ce quiproquo n’est qu’apparent. Si nous nous trompons sur leurs manières, nous ne nous trompons pas sur leur nature : c’est une intuition vraie de désharmonie fondamentale entre eux et nous qui dicte notre fausse interprétation de leurs actes. Quand un être nous répugne par ce qu’il est, rien de ce qu’il fait – même avec la meilleure intention du monde – ne saurait nous agréer.
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Info: "Ce que Dieu a uni", libraire Arthème Fayard, 1962, page 187
Commentaires: 2
Coli Masson
09.10.2023
oui.
miguel
25.09.2023
rapports humains ?