Sois bénie, toi qui as mis en moi assez de désordre, de vertige et de ruines pour que je ne puisse plus jamais être satisfait de moi-même ou me reposer dans une paix vulnérable – toi qui m’as sauvé du bonheur !
Auteur:
Info: "Ce que Dieu a uni", libraire Arthème Fayard, 1962, page 208
Commentaires: 0