C'était un dimanche, et le jeune homme, sans savoir pourquoi, était comme prisonnier de ses pensées, il n'arrivait pas à se concentrer ni à penser à rien de concret ; seul un papillon posé sur un citron vert parvint à le distraire ; immobile, palpitant, il déplia ses ailes blanc et noir, puis s'envola, agile et fuyant, quand il essaya de s'approcher. Il avait toujours eu l'impression que les papillons sont comme les pensées quand nous sommes seuls ; que, en fait, ils sont nos propres pensées.
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Info: La Beauté du monde
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