... la tempête parfaite qui te conduit à la mort demande un tel concours de circonstances que la plus petite altération peut te sauver. Paul Morand raconte dans L’art de mourir qu’un jeune Hongrois s’était jeté dans le Danube et avait refusé toute tentative de secours, jusqu’à ce qu’un policier arrive, brandisse son pistolet, le vise et s’écrie : “Sortez ou je tire.” Et le jeune homme est sorti de l’eau.
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Info: Le danger de ne pas être folle
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