Nous tombons dans la vulgarité quand nous passons la cinquantaine et continuons néanmoins à vivre, à exister. Nous sommes assez lâches pour aller jusqu'à la limite, pensai-je, et nous devenons doublement lamentables une fois que nous avons franchi le cap des cinquante ans.
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Info: Le Naufragé
Commentaires: 1
miguel
05.01.2024
Lâcheté qui empêche de vivre pleinement... Nous sommes des animaux émolliés, qui ne servent plus à rien, qui ne servent plus qu'à polluer le monde... parasites, sangsues, qui sucent le sang de la jeunesse. Dans des sociétés occidentales qui vieillissent de concert perdent de leur vigueur.... sociétés de veillards désorientés