J'ai beau secouer et presser, mon âme est un encrier sec. Quel "Diable" voudra la prendre en paiement et m'assurer la réussite de mon œuvre ?
Le "Diable" devrait être la carte que dans mon métier on rencontre le plus souvent : la matière première de l'écriture n'est-elle pas toute dans la remontée au jour de griffes velues, crocs canins, cornes caprines, violences interdites qui pataugent dans le noir ?
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Info: Le Château des destins croisés
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