Il faut éliminer le malheur autant qu’on le peut de la vie sociale, car le malheur ne sert qu’à la grâce et la société n’est pas une société d’élus. Il y aura toujours assez de malheur pour les élus.
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Info: "La pesanteur et la grâce", Librairie Plon, 1988, page 246
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