L’écrivain relève de l’ancien monde du jugement, du tri, de la discrimination, de la rareté. Le graphomane baigne dans le nouveau monde du marché, de la démocratie fatiguée, de la littérature comme art de masse et du droit à écrire.
Le graphomane est le gentil compagnon de route de la nouvelle civilisation.
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Info: ultima necat VI, journal intime 1996-1997
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