Alors que l’Église, qui a vu naître et mourir les empires et les dynasties, l’Eglise, plus vieille que tous les Etats et toutes les Constitutions, s’est toujours fait un devoir de ne s’inféoder à aucun régime, à aucune de ces mobiles formes de gouvernement qui varient avec les siècles comme la coupe des habits, les docteurs du nouvel ultramontanisme vont répétant qu’il n’y a d’acceptable, pour la religion, que ce qu’ils nomment la monarchie chrétienne.
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Info: Les catholiques libéraux, l'Église et le libéralisme de 1830 à nos jours, Librairie Plon, 1885, page 280
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