L’exportation des perceptions s’opère par la production de fibres de matière epsilon (énergétiques) qui partent de la masse epsilon associée au corps biologique tout en restant reliées à cette masse.
En sélectionnant la partie délocalisée de fibres pour produire ses perceptions, la personne a la sensation d’être ‘’ ailleurs’’ avec une intensité variable, de très faible (1 à 5%) jusqu’à totale (100%). Au stade maximum, l’explorateur ne perçoit plus du tout son corps biologique et a la sensation d’être localisé à l’extrémité du faisceau de fibres epsilon. Dans ce cas, s’il est dépourvu d’expérience de voyage hors du corps, il pensera en avoir vécu une.
C’est une méconnaissance extrêmement répandue qui donne l’illusion à la très grande majorité des praticiens du Marécage de vivre des sorties hors du corps : Chamanisme, Alchimie, trips sous psychotropes, pratiques énergétiques, Magie, etc. Dans 99,99999% des cas, l’expérience de ‘’ fusion avec le tout’’ est une expérience limitée au Marécage.
Dans le cas de l’exportation PSI* la personne reste totalement localisée dans le corps biologique, dans le cas du Voyage la personne n’est PLUS DU TOUT à l’intérieur du corps biologique.
De fortes caractéristiques marquent les différences entre les deux états, voici les principales qui concernent le VOYAGE seulement et aucunement la projection PSI :
- Observation d’un corps non-physique constitué de grains de ‘’lumière’’ vivants, enveloppe parfaitement visible, palpable et magnifique, sans aucun poids, aucune inertie, aucune limite de vitesse
- Présence de la corde d’argent fixée à la nuque du corps de lumière (dans 100% des cas)
- Conscience et mémoire beaucoup plus larges, plus claires, plus intenses, plus puissantes que dans le corps bio-énergétique
- Immersion continue dans des états supérieurs++ : Joie, Liberté, Vie, Confiance, Amour, Exultation continue, Ivresse d’exister, Dieu, Lumière, Eternité, Curiosité, Infini, Emerveillement, Création,
- Possibilité de circuler dans des mondes vibratoires très différents et de sortir totalement des mondes physico-énergétiques (que je nomme le ‘’Marécage’’)
C’est dans le lit, en rejoignant ma bien-Aimée Anne que je commence à tâtonner, à faire n’importe quoi, au hasard (s’il existe).
Tout d’abord, je ressens avec frustration la grande limitation des facultés PSI de mon corps de primate terrestre. Plus je me souviens du corps de SS3, et des autres, plus ce handicap me pèse.
Puis j’installe dans le système neuronal du singe proto-humain l’idée de sortir de la bulle locale, la prison constituée des pensées, des croyances, des pseudo-connaissances, des prétendues sciences terrestres, à commencer par les illusions locales de type ‘’spirituel’’.
L’intention posée agit immédiatement.
Une partie du ‘’moi’’ incarné s’affranchit des limitations terrestres. L’esprit évoque alors mon quotidien d’il y a 40 000 ans, sur SS3. Le rappel de la mémoire, entre autres choses, me pousse vers l’endroit où j’aime souvent aller, dans les moments de pause, après le travail où lorsque je décide de prendre 50 ans de vacances (en temps terrestre).
De l’autre côté de la ‘’ ville ’’ par rapport à mon ‘’ appartement ’’ se trouve le lieu où les Visiteurs Cosmiques arrivent. Bien entendu il n’y a aucune piste d’atterrissage car TOUS les vaisseaux se posent verticalement. Cette zone est juste après l’anneau de la ville (cet anneau n’est pas une route), et par convention, les Cosmiques se garent ici.
Nous n’avons pas beaucoup de visites, alors je suis toujours intéressé par une nouvelle arrivée. Quand je le peux je viens là, parfois juste pour observer, d’autres fois pour communiquer avec les Enfants des Étoiles, quelle que soit leur espèce.
Prodigieuse diversité qui nourrit mon esprit avide de savoir, cette immense curiosité ne semble pas avoir de limites, elle se combine à un esprit supérieur, un mental avancé dont le QI serait de 500 ou 600 en comparaison de celui d’un primate terrestre, et de facultés PSI nominales pour mon espèce.
Je ressens alors la frustration d’avoir quitté ce lieu et de me trouver isolé sur une planète de Rêveurs. Mais j’ai choisi.
Je tente alors de renouer le lien avec un de mes derniers contacts avant mon départ définitif de SS3. Immédiatement, un nouveau souvenir émerge.
Cet être avait gardé son scaphandre parce que l’atmosphère de SS3 aurait tué son corps biologique. Par parenthèse, sur SS3 un humain terrestre perdrait connaissance en moins de 3 minutes puis mourrait.
Lui et moi avons souhaité nous revoir. Mais je suis parti.
Et c’est à ce moment précis de l’évocation que l’exportation PSI jaillit brutalement. Jusque là j’étais conscient d’être dans le lit aux côtés d’Anne, en train de farfouiller dans les souvenirs, et maintenant je suis projeté vers mon contact, sur SS3.
Sensation de délocalisation à plus de 90%.
Les choses vont très vite. Tout d’abord je prends contact avec l’être en question. C’est fulgurant. J’avais complètement oublié que le temps n’est pas le même pour les Voyageurs des Etoiles, et que dans certaines conditions, 40 000 années terrestres sont juste quelques jours dans un autre référentiel.
La connexion avec mon interlocuteur déclenche en une microseconde une réorientation des fibres epsilon. Il m’a donné l’adresse d’un lieu qu’il m’avait évoqué lors de notre premier contact.
Sensation de délocalisation intégrale, je ‘’suis’’ en ce lieu, celui dont il m’a ‘’parlé’’. Je ne perçois plus du tout le corps biologique humain terrestre alors que je m’y trouve encore, à 100%.
Tout d’abord je vois un immense bâtiment blanc fait de formes arrondies, dont une ‘’ casquette ’’ gigantesque surplombant ce qui ressemble à une ‘’ entrée ’’. Le ciel est bleu très clair. Je pousse les filaments vers l’intérieur de ce lieu. C’est beaucoup plus grand qu’un aéroport.
Je suis extrêmement surpris, je ne comprends pas ce que je vois.
A l’intérieur il n’y a pas non plus le moindre angle, tout est arrondi, courbe, mais ce n’est pas ce qui me trouble
Il y a des êtres ici, de différentes apparences, des sortes de grands couloirs, de très grandes salles, j’avance avec les fibres comme on explorerait avec un endoscope, une fibre optique. C’est exactement ça, mais on peut faire plus que voir, on peut aussi toucher, percevoir par plusieurs autres sens dont certains n’existent pas dans un corps humain terrestre.
Ce que je ne comprends pas, c’est COMMENT je peux voir ici.
Car TOUT est d’un blanc intense. Y compris les êtres qui se trouvent dans le bâtiment.
Je n’aurais jamais imaginé un tel blanc dans une dimension physique, car j’observe nécessairement un lieu du Marécage, quelque part dans un cosmos physique. Les fibres epsilon ne peuvent pas aller au-delà.
C’est à la limite des possibilités PSI. Ce blanc intense, uniforme, fait quasiment tout disparaitre. Je réfléchis… J’arrive à distinguer les formes par d’infimes différences d’intensité de ce blanc, car il n’y a aucune source apparente de lumière, et il n’y a aucune ombre.
J’essaie de scanner ce blanc. Avec les capacités du corps de lumière c’est facile, avec les facultés PSI beaucoup moins, normalement on arrive néanmoins à distinguer les pixels de couleurs qui donnent un rendu coloré uniforme, y compris pour le blanc.
Mais là, il n’est pas possible pour moi de voir de pixels.
Je réfléchis : ces pixels, s’ils existent, sont-ils d’une résolution trop fine pour le PSI ?
Ou bien ce blanc est-il autre chose que le blanc dont j’ai l’habitude dans les mondes du Marécage ?
Ce blanc est-il l’assemblage d’un plus grand nombre de couleurs que celles que peuvent voir un œil humain de la Terre ? Il y a de cela, peut-être.
Je circule un peu, je vais en avant. Mes repères ne sont constitués que par des minuscules différences d’intensité du blanc. Je croise des êtres de différentes formes, différentes tailles, certaines humanoïdes, d’autres pas. Rien ne m’indique que ma ‘’ présence ’’ énergétique soit détectée, mais je n’en suis absolument pas certain.
Il semble que cette lumière particulière ne trouble aucunement les Personnes qui circulent ici.
Au bout de 2 minutes passées à m’obstiner sur la vision, je conclus la chose suivante : que les concepteurs de ces lieux l’aient voulu ou pas, ce Blanc de Blanc neutralise la majeure partie des perceptions PSI, du moins celles qui sont actuellement les miennes. A la réflexion, j’imagine que la quasi-totalité des projecteurs PSI de la terre ne verraient que du blanc, aucune forme ne serait perceptible pour eux.
Je n’ai pu arriver à distinguer les formes qu’en recrutant une fraction de mes aptitudes PSI de SS3…
Je ramène les extensions au corps biologique et j’analyse ce que je viens de vivre.
Encore une chose nouvelle, c’est la 100 000ème fois. Je n’arrive pas à comprendre, juste à formuler des hypothèses.
Le lendemain, il y a eu quelque chose qui m’a neutralisé physiquement durant quasiment toute la journée. Je suis resté KO non-stop. Je me suis demandé si cela pouvait être une conséquence de ma visite PSI. J’estime que la probabilité que ce soit lié est de 0,001%
Grosso modo.
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Info: Post Facebook du 22 juin 2024. *recense au sens large les perception extra-sensorielles
Commentaires: 1
miguel
23.06.2024
(FLP) - Qu'est-ce que la matière epsilon dont parle Marc Auburn ? (Perplexity.ai) - Marc Auburn parle de la "matière epsilon" comme d'un concept clé dans sa vision de la réalité et des phénomènes paranormaux. Voici les principaux points concernant cette notion : La matière epsilon est décrite comme une forme d'énergie ou de matière subtile qui constituerait une partie fondamentale de la réalité. Elle jouerait un rôle majeur dans les phénomènes psi et les expériences hors du corps. Auburn considère que cette matière epsilon est distincte de la matière physique ordinaire, mais interagit avec elle. Dans ses stages et enseignements, Auburn aborde la matière epsilon comme un élément crucial pour comprendre et expérimenter les sorties hors du corps et autres phénomènes paranormaux. Il semble associer cette matière epsilon à ce que d'autres traditions appellent parfois "énergie éthérique" ou "corps subtil". Auburn affirme que la compréhension et la manipulation de cette matière epsilon sont essentielles pour développer des capacités psi et explorer des dimensions spirituelles. Il est important de noter que le concept de "matière epsilon" tel que décrit par Marc Auburn n'est pas reconnu par la science conventionnelle. Il s'agit d'une théorie personnelle basée sur ses expériences et sa vision du monde, qui s'inscrit dans le domaine des croyances paranormales plutôt que dans celui des faits scientifiquement établis.