Toute étude de la religion germanique et scandinave qui négligerait ce trait pour se confiner à une description de mythes, à une nomenclature de divinités ou de héros, se condamnerait, par là même, à passer à côté de l’essentiel, c’est-à-dire du sacré: car le sacré chez les anciens Germains, c’est le Destin, le sens du Destin, les innombrables figurations que prend le Destin. Tacite le notait déjà: " Les auspices et les sorts n’ont pas d’observateurs plus attentifs. "
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Info: L'Edda poétique
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