La position de Freud au niveau du souverain bien, contrairement à ce que l’on pourrait croire, est que le plaisir n’est pas le souverain bien. Il n’est pas non plus ce que la morale refuse. Il indique que cela n’étant pas le bien, le bien n’existe pas et que le souverain bien ne saurait être représenté.
Le destin de Freud c’est que la psychanalyse ne peut plus se caractériser comme l’esquisse de l’honnêteté́ de notre temps.
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Info: Conférence de Bruxelles sur l'éthique de la psychanalyse, 9 mars 1960
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