Nous avons noté que cet écrivain [D. H. Lawrence], en règle générale, s’arrête à une aberrante mystique de la chair, et les phrases que nous avons citées se rapportent à l’expérience bénéfique que peut représenter un usage du sexe sans freins ni inhibitions pour un type sexuellement dévié – celui qui correspond à la grande majorité des femmes anglo-saxonnes modernes.
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Info: Métaphysique du sexe, traduit de l’italien par Philippe Baillet, éditions L'âge d'homme, Lausanne, 2005, page 130
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