Car, disons-le, l’intérêt qu’il y a à vous introduire dans ce théâtre [la Triologie du Père humilié de Paul Claudel] - même s’il a pour tel ou tel, selon ses penchants, une odeur de sacristie qui peut plaire ou déplaire, la question n’est pas là - c’est que c’est quand même une tragédie. Et c’est bien drôle que ça ait amené ce monsieur à des positions qui ne sont pas des positions faites pour nous plaire, mais il faut s’en accommoder et au besoin chercher à le comprendre. C’est tout de même de bout en bout de "Tête d’Or" au "Soulier de satin" la tragédie du désir.
Auteur:
Info: 24 mai 1961
Commentaires: 0